. . ON VEUT NOUS RETIRER NOS PINCEAUX ! ! ! !
.
.
ON VEUT NOUS RETIRER NOS PINCEAUX ! ! ! !
L'ESSENCE MÊME DES ECOLES D'ART TEND A DISPARAITRE...
.
lettre ouverte des écoles supérieures d'art
Nous refusons :
que le mémoire devienne un objet d'évaluation en soi, dissocié de l'évaluation du DNSEP.
que la validation du mémoire soit une condition préalable à la présentation du travail plastique,
.
Nous demandons :
que le DNSEP soit reconnu comme l'aboutissement de 10 semestres d'études en école d'art, au cours desquels l'étudiant met progressivement en place la singularité d'un projet artistique,
qu'au travers des modalités de ce diplôme de fin d'études soient reconnues les spécificités d'un enseignement à l'art, par l'art, articulant le sensible et l'intelligible, sans dissociation ou primauté de l'un sur l'autre.
que le DNSEP soit constitué essentiellement de la présentation d'un projet artistique, accompagnée de la remise d'un mémoire faisant état des recherches, réflexions, références, et inscription culturelle du travail présenté, lui conservant ainsi sa fonction d'outil au service du travail artistique, et indissociable de celui-ci. La forme que prend ce mémoire peut être variée et liée au travail plastique en question,
que le DNSEP soit donc attribué sur l'ensemble du travail présenté, sans autre préalable, et sans que le mémoire puisse faire l'objet d'une épreuve éliminatoire dissociée,
que le jury qui délivre le DNSEP soit un jury unique, et non pas composé de deux jurys distincts
De cette façon, le DNSEP, pour lequel il est demandé la reconnaissance au grade de master, tout en gardant sa nature propre, permettrait à l'étudiant qui le désire de développer un travail ultérieur de recherche dans un contexte d'enseignement supérieur.
.
.
IMPORTANT , Signez la Lettre ouverte :
http://blog.cneea.fr/pages/SIGNATURE-DE-LA-LETTRE-OUVERTE
.
.
.
.
Approximate visions , Acte II
;
;
Session 27.11.09 ;
.
.
.
.
;
;
;
;
;
;
;
;
;
;
L'idée c'est de traduire l'attraction, le mouvement, la vitesse de la vie, du temps, et la vitesse de la ville. Les gens qui marchent vite, tous au méme rythme, un peu comme des machines. Des corps, des batiments, des lumiéres (qui représentent selon moi notre société. Trés dans la démonstration, dans le superflu... le trop plein de brillant). Le flou de la vie aussi , et le mien... puisque ce projet parle de moi, de mon rapport au monde et a moi méme... Ce et ceux qui m'ancrent.
Un moment "d'intimitée" que je veux partager puisque je le film , le projette sur la boite. Avec une certaine pudeure.[...]
Mais s'il parle de moi, je me dis aussi qu'il parle forcément (un peu ?) des Autres.
Et si ca ne "fonctionne" pas vraiment, est ce vraiment grave dans le fond ? [...]
:;
.
.
Approximate visions , Acte I
.
Session 07.11.09 .
.
.
Session 20.11.09 .
.
.
.
.
.
.
.
Session 25.11.09
.
.
Session 2008
.
.
.
.
.
;
.
.
.
.
Matin, midi, soir ce projet me trotte dans la tête. Présent à chaque seconde. Au plus prés de moi. Puisqu'il est en moi. Je ne sais pas si c'est "bon". Mais le fait est qu'il me nourrit. Et je suis affamée. Ce foutu projet qui parfois piètine et me déroute, car elle n'est pas toute tracée. Elle est complexe et me rend bricoleuse (entre autre) pendant un temps.
Passer par plusieurs phases. Tenter d'en revenir au principal. [ Mon principal ? ] . Tout un art... Être sincére avec moi même tout en essayant de communiquer mes sensations.
Car là est tout l'intérêt selon moi. Communiquer, partager. Voila le moyen que j'ai trouver pour pouvoir parler sans ouvrir la bouche. Les arts-plastiques.
Photos pour la création (...en devenir) . "Attractions" . Une vidéo d'une installation-performance qui sera projettée sur l'installation elle-même. Un lien. Le mouvement. Le(s) flou(s) . La vitesse de notre société. L' attraction de la vie. Des Autres. Des visages.
Du quotidien, de ces visages connus ou méconnus, qui me permettent de m'ancrer, de me sentir m'appartenir dans ce corps, cette vie, cette ville et cette (T/t)erre ... ; malgré tout .
Exprimer mon rapport au monde (ou en tout cas la façon dont je le conçois a vingt ans) par le corps, la "boîte" dans laquelle je veux le voir bouger, vivre. Les feuilles qui la recouvre, comme des tuiles, une "enveloppe". Les barreaux en branches. Le tissu qui créé une ombre, la mienne. Les différents point de vue.
La labeur. Le travail répétitif, l'accélération du mouvement. Frottements. Respiration. Essouflé.
[...] Je pense avoir les questions. Pour ce qui est des réponses, je les trouveraient. Doucement, tranquillement (moins parfois...).
.
.
.
.
....
E x p o p h o t o s
.
qui a eu lieu au salon "Perle de thé" (8 rue Salvador Allende, à la Roche sur Yon , 85000. Tél : 02 51 37 92 95) du 15 juin au 1 août 2009,
.
.
Le lien, 2008, 30 x 40 cm
.
Fenêtre, 2008, 40 x 30 cm
.
Rencontre, tryptique, 2008, 40 x 30 cm
.
Le chemin, 2008, 30 x 40 cm .
.
Solitaire, 2009, 50 x 70 cm .
.
.
.
Fragments...
.
.
.
Troubles, 2008
.
.
*
.
.
Sans titre, 2008, (extrait de projet)
.
[ Projet. Ombres . Image. Femme. Corps. Instrumentalisation. Correspondance. Anonyma? Dissimulé(e) (ou pas...). Derrière. Devant. Tissu froissé. Rapport(s) au(x) corps. Froid. Carrelage. Chaud? Parquet. Intimité. "Explosion" du corps opprimé. Société. Fric. Du doigt... pointer. ] Cf : Eve, illustration d'une vie, performance, 2007. & appuyé sur "Le premier jour aprés moi", de Jacques Attali ; et de l'huile sur toile de Nicolas de Staël, Le Grand Concert.
.
.
*
/
.
A pieds, 2008
.
.
.